Quelques gouttes de ciel
hésitent
entre cendre et braise
les évidences sont invisibles
finirons-nous par voir
le jour
*
Valse splendide
des anges
le silence est
pure merveille
aux arbres
un siècle de neige
estivale s’accroche
*
Nos peaux constellent
évoquent des tempêtes
perséides affranchies
de toute loi
une éclaircie nous invite
à la retenue
*
Christophe Condello
15 octobre 2012
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